Après quelques jours de réflexion à propos de taGueule, la maudite Québécoise que je suis a décidé de joindre les rangs de la camaraderie tagueuloise.
Par définition, un camarade se dit d’une personne avec laquelle l’on partage un ou plusieurs centres d’intérêts. Quel soulagement de rencontrer d’autres grandes gueules prêtes à rejeter le statu quo et à réfléchir à haute voix, et ce, même si nous ne sommes pas tous en accord. L’uniformité n’a non seulement jamais été source de progrès mais est une invitation au désastre nederlandsegokken online casino parce qu’insidieusement elle paralyse tout sens critique de l’homme et ce dernier devient trop facilement manipulable.
Je réalise que taGueule représente plus qu’une plate-forme pour les opinions dissidentes. En fait, je considère le webzine comme un espace public, tel que définit par Jürgen Habermas, où les individus font usage de leur raison et s’approprient la sphère publique où s’exerce une critique contre l’État.
Dans notre cas, on remarquera que plusieurs vaches sacrées de l’Ontario français passeront sous le crible et non pas seulement le politique. Tant mieux, car on en a marre de tous ces discours désuets sur l’identité franco-ontarienne.